le choix d'un nouveau concept de voyages plus respectueux de la nature, mais bien moins performant que notre defender!! il faut l'avouer! Quoique ....
Nous avons une pensée pour notre ami Valéry S. lorsque nous prenons après Dakhla,  la direction de Aousserd, ou Aoussard, dans le désert. Une vraie révélation que cette route vers le nulle-part. un bout de monde à travers une vallée perdue magnifique.....ou nous trouverons le point d'eau si important pour les oiseaux. une cuve de chateau d'eau qui déborde et forme une marre ou les rolselins gythagines, les bergeronnettes, les gambras et beaucoup d'autres viennent boire. Arrivée a Aoussert, nous ne trouverons que les militaires, l'UN, la gendarmerie royale, avec qui nous discuterons. Nous passerons devant les accacias, moineaux blancs et moinelettes étaient bien là.
 BURSTNER  Viséo i 696   130 ch   3500/3850 kg   7.00m x 2.30m h 3.00m
La sortie de Mauritanie, boff!! c'est long mais assez simple. La frontière sénégalaise, c'est visa inutile pour les français, mais passavant pour un véhicule moins de 5 ans, une autorisation de circulation dans le pays de 48heures et rien d'autre. si véhicule plus de 5 ans, on ne veut pas de vous! demie tour!  J'explique au Directeur Douane et Police que je veux rester un mois dans le pays! Impossible Monsieur!! il faut que vous alliez à Dakar renouveler votre passavant!  Ici il faut payer taxe municipale, police et passavant de 48h. Après plus d'une heure de transaction, direction Rosso.. le bac!! des dizaines de passeurs arrivent se coller a nos vitres! des changeurs de devises, des vendeurs de toutes sortes! c'est l'enfer.!! impossible de s'en décoller. Nous prenons Manga comme passeur, ticket de bac, taxe municipale, il faut payer encore partout! des heures d'attente, un billet obligatoire au chef du bac pour éviter de voir tous les sénégalais vous passer devant vers le bac! car labas il y a pas d'ordre ! c'est le bordel complet! un autre billet a ka police et votre passeport est tamponné prend la pile du dessus! Puis il faut payer Manga! qui traversera avec nous de l'autre coté.    Cent mêtres à peine effectué sur la route de Saint Louis et la police nous arrête! défaut de ceinture de sécurité!   alors que personne n'en porte labas,  d'ailleurs 9 voitures sur 10 n'en ont pas.  Quelques kilomètres plus loin, nous stoppons acheter quelques fruits sur le bord de route. La police accourre! contravention défaut de stationnement alors que devant et derrière moi des dizaines de voitures poubelles sont là! le policier me prend mon permis et m'indique d'aller payer une contravention à l'autre bout de la ville,et qu'il me rendra mon permis en lui montrant le reçu!  5 kilomètres au Sénégal et déjà des tas d'ennuis!! De plus nous avons 48h pour nous rendre

 

    Un passage à la presqu'Ile de Gien, (pas mécontents de quitter le froid installé en Ile de France), récupérer nos amis Henry et Joelle et remplir frigo et congélateur de produits bien français et  nous voila partis vers la frontière espagnole.

    Je commence à prendre l'habitude de mon bus, pas forcément évident de conduire un truc de cette envergure, les camions me foutent quelquefois la trouille en me croisant, et pour faire un créneau, je verrai plus tard.....

    Les températures remontent et nous prenons chacun nos repères dans notre maison mobile.

    Descente directe vers Algésiras,

     Arrivée au port d'embarquement le lundi 9h le billet est pris: le CC et 4 personnes : 263 euros

c'est parti pour le continent africain. traversée 1h30 arrivée au nouveau port de Tanger.

 

    Direction Larache ou nous dormons au camping habituel à l'entrée de Larache ( il n'est plus gratuit)

    Nombre de camping-car nous indiquant de gros problème de sécurité avec le Front Polissario  à Laayoune, l'Ambassade d'Allemagne interdit même à ses citoyens de descendre vers la Mauritanie. Nous décidons de passer à l'Ambassade de France à Rabat pour en savoir plus, ces derniers nous dirigent vers le Consulat à l'autre bout de la ville. L'accueil est nettement plus convivial mais la mise en garde est réelle.

Pas d'arrêt recommandé!! et passage en convoi, même dans le sud du Sahara occidental.

    Nous décidons quand même de nous rendre à l'Ambassade de Mauritanie de Rabat. Il est 11 heures, et nos femmes feront des miracles! Malgré la fermeture, elles sont reçues et un type leur promet les visas à 14h,  quelques stylos et le type leur montre ses dents blanches ou presque! nos visas sont valables 1 mois à compter du 20 décembre, 32 euros par personne, nous devrons donc repasser la frontière au plus tard le 20 janvier! 2011.

 il pleut toujours des cordes depuis notre arrivée.

des centaines de hérons garde-boeuf, beaucoup de cigognes blanches sur les terres inondées.

 

    Mercredi 1er décembre, beaucoup trop de pluie pour se rendre au jardin exotique de Rabat, nous décidons de descendre vers Essaouira, ou nous verrons nos premiers pouillots ibériques, fauvette mélanocéphale, bulbul des jardins, et tant d'autres.

    Puis ce sera la longue descente vers le sud, Agadir, Guelmim, Tan Tan plage, Tarfaya, puis Laâyoune, ou nous n'avons eu aucun problème, les innombrables contrôles de police nous rassuraient.

L'arrivée dans la lagune de Dakhla est un émerveillement, comme d'ailleurs la ville, qui sera notre relais pour nous préparer à la frontière mauritanienne.

 

le redoutable No man's land

pour entrer en Mauritanie

 La descente du Sahara occidental est tres longue, les centaines de kilomètres défilent.....mais j'aime cette approche du désert, je ne lasse pas de voir les sirlis, les ammomanes, les cochevis, les alouettes de tous les genres, courvite isabelle, mais malgré tout pas de Clotbey!

La frontière Maroc/Mauritanie...une certaine file d'attente pour sortir du Maroc, et des formalités relativement simples pour entrer en Mautinanie,  assurance obligatoire pour le véhicule, visas.

Entre les deux, quelques kilomètres sans revetement, relativement difficile pour un camping-car, il faut rouler doucement, et tout se passe bien. le mieux est suivre un camion marocain, c'est plus rassurant.

quelques centaines de kilomètres pour traverser le pays, et notamment Nouakchott ( images ci contre) Une sorte d'Afrique noire naissante, ville grouillante de monde, pagaille infernale de véhicules plus délabrés les une que les autres. Aucun camping-car à l'horizon! peu de blanc, es ce un signe?

Nous trouverons asile chez les religieux et y passerons une nuit à l'écart d'éventuels problèmes, puis descente vers la frontière sénégalaise.

Ce qui sera une autre histoire !!

l'entrée au Sénégal, la frontière puis le bac de Rosso      un réel calvaire...!!

  le passage en  Gambie puis le bac de Banjul...  sortez les billets !!!
Nous avons une autorisation de circuler pour 3 mois! génial nous dirigerons vers Lamin et le parc d'Abuko. tres difficile de trouver un endroit ou se poser, pas de camping! des hotels sans accueil possible, nous réussirons quand meme a trouver un endroit. Le parc d'Abuko et ses guides quasi obligatoires!! nous connaitrons "Pa" un guide et son livre d'identification qui se révèlera relativement bon.
 à Dakar, cela promet, route completement pourrie, une galère !! l'entrèe dans Dakar est apocaliptique, des heures d'attente, accidents, camions renversés sur la chaussée, deviation dans la brousse, un désordre sans non, arrivée vers la Direction des douanes non sans mal. Rendez vous avec la grand Directeur de la Douane, de grosses négociations en faisant valoir notre démarche ornitho et nous arrachons le maximum, 8 jours! sans aucun renouvellement! Le Sénegal ne veut pas de touristes véhiculés!! les dés sont jetés, il nous faut rejoindre rapidement la Gambie! Nous trouverons refuge chez Raymond, sympathique français désespéré de son camping de l'océan vide ! evidemment. Puis ce fut un autre refuge dans un monastère de nonnes, heureusement car rien est prévu pour le touriste, à part les hötels, Sommes sans cesse harcelés par les passants. tout est matière a nous faire payer! vous demandez un endroit pour dejeuner ? il faut payer un carte telephonique, puis le service rendu, et le gars s'invite en plus  direct audit restaurant! avec une insistance qui dépasse l'imagination. Difficile d'effectuer des images d'oiseaux bien qu'il y en ait partout, les habitants imposent de l'argent pour effectuer des photos! c'est le délire total! il nous faut presque nous cacher partout. Nous ne ferons donc pas grand chose en dehors du parc chez les nonnes, ou nous serons tranquilles. Puis ce fut  l'arrivée à la frontiere gambienne à Karang puis le bac de Banjul!  Même cinéma que chez les sénégalais à la frontière, plus simple quand même, puis le bac, oh la la !! il faut le voir pour le croire

    Appelé aussi Monkey park tout près de Kololi.

le parc ouvre à 8 heures, paiement d'entrée pas très chère mais les guides vous surmergent....

"Pa"  jeune guide avec qui nous sympathisons et acceptons la visite guidée pour 25e la journée.

Le Parc ne se révélera pas à la hauteur de sa réputation le matin, au point que Pa nous suggère les rizieres toutes proches, et là! c'est beaucoup mieux!! Heureusement que nous avions de hautes bottes, les insectes d'eau vous grimpent sur les jambes, comme toutes sortes de terribles mordeurs piqueurs!

Le spectacle vaut quand même le coup, rollier varié, limicoles a foison, hérons et vanneaux nombreux, rhynchée peinte discrète, martin pecheur géant à quelques mètres, le pygmée plus farouche. L'endroit est vraiment superbe et nous y retournerons deux jours.

Pa nous suggère la forêt de Brufut proche de la cote Ouest, et nous le regretterons pas! nous y verrons l'engoulevent à longue queue, l'espèce est très rare et nous avons une chance incroyable d'en voir un au milieu d'un taillis.

la foret de Brufut est très sauvage et les oiseaux y sont très nombreux. La plupart de nos images seront effectuées à cet endroit, puis remonterons les villages le long de la cote. Les oiseaux sont vraiment partout et cohabitent avec les villageois. Nous sommes beaucoup moins harcelés qu'au Sénégal et le voyage prend un visage agréable.

Nous serons émerveillés par les martins chasseurs, y verront un pygmée à coté d'un martin à ailes bleue, le géant a quelques mètres de nous, que notre présence ne génait nullement.

Le fait de quitter la Gambie fut aussi une grande épreuve, la fouille de douane ! oh lala! les douaniers voient notre argent et quelques medicaments,  l'un d'eux trouve une bombe anti agression et c'est le drame! il m'indique en anglais 3 mois de prison ou 5.000 e d'amende. nous parlementons des heures, il va faloir sortir des billets, le douanier m'invite dans un bureau seul, puis avec joelle qui assure la traduction et nous fait comprendre qu'il peut nous eviter des ennuis! Nous refusons et il fait venir le Directeur de la douane,  ce dernier ne me dit pas un mot, regarde mes papiers, l'objet du délit qu'il confisque puis me fait un signe de tete pour me faire comprendre de partir! ouf!

Nous voila de nouveau au Sénégal! et c'est regalère, il faut repayer les taxes et toutes sortes de trucs! le douanier ne connait rien de la législation, il me demande un carnet ATA pour le véhicule, puis nous donne une autorisation de circuler de 10 jours ( completement illégale) on ne discute pas et on quitte l'endroit. Trois kilomètres plus loin, la police nous confirme que nous n'avons le droit qu'a 72 h pour quitter le pays! mais nouys laisse passer. cela promets!!!

 

.Nous quitterons le Sénégal avec les mêmes difficultés, et le sentiment très fort que nous ne reviendrons jamais dans ce pays inhospitalier et franchement désagréable à tous les niveaux. La route de Kaolac confirmera notre sentiment, plus de 100 kilomètres sur un route ou il y a plus de trous que de restes de goudron, 20km à l'heure max et le risque de tout casser! une épreuve très difficile! dont nous nous souviendrons! puis la ville, et ses tonnes d'ordures sur plus d'un kilomètre faisant office d'entrée de ville, une fourmilière indescriptible ou nous ne cesserons d'être harcelé.

Nous profiterons des 10 jours accordés par erreur par le douanier pour chercher des coins isolés à Toubakouta, Niaming, Joal-Fadiout. Pas le temps de nous rendre dans le Sénégal oriental, au Niokolo Koba et nous le regretterons vraiment!  Le Sénégal nous aura frustré, déçu, et n'en retirerons que peu de positif, à tel point que nous devenons impatients que ces 10  jours se terminent pour retrouver une vraie civilisation avec des gens normaux et agréables.

    Puis ce fut le chemin inverse et le retour vers  Dakla et l' aéroport... ou nous devons déposer nos amis pour un retour en France via Casablanca bien désolant.   Le passage du no man 's land est effectué cool, l'entrée au Maroc passe par la case du scanner du véhicule, quelques heures d'attente, mais nous ressortirons, heureux de retrouver la civilisation et des gens enfin agréables!  Nous sommes très tristes de les quitter, cette aventure fut vraiment une épopée incroyable au quotidien avec des merveilleux moments.Nous ne sentirons un peu seuls, mais nous avons encore presque un mois pour explorer l'est du Maroc et retourner vers la frontiere est, proche de l'Algérie, retrouver les moineaux blancs peut être.... et puis un clin d'oeil admirateur pour les marocains  qui savent être fier de leur drapeau et de ses traditions sans risquer d'être montrer du doigt. Nouveau drame! ma carte verte indique qu'elle est valable 1 journée, un controle nous obligera a rester plus de 2 semaines sur place, en attendant que ma compagnie d'assurance daigne nous adresser la preuve que nous etions assurés. Une petite histoire qui fut tres difficile a vivre. car par d'internet, ni de tel. merci a jassurmoncampingcar qui fut d'une nullité absolue!
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 Le Parc d'Abuko :  Espèces presentes :

Drongo brillant, grand indicateur, guepier nain,héron mélanocéphale,irrisor moqueur, irrisor noir, jacana à poitrine dorée, Prinia à ailes rousses, Pririt à collier, Rollier varié, rollier d'Abyssinie, Serin à croupion blanc, Serin gris, Tisserin à cou noir, Tisserin gendarme, Alectro à bec blanc, Amadine cou-coupé, Amadine du Sénégal, Anhinga d'Afrique, Astrild cendré, Barbican à poitrine rouge, Calao à bec noir, Camaroptère à tete grise, Capucin nonnette, Choucador à oreillons bleus, Choucador pourpré.

Traverséee de l'espagne par l'Andalousie, malheureusement sous la pluie puis la neige pour effectuer notre dernière espèce... la pie bleue
31 décembre 2010 sous un baobab gambien

Conclusion

Ce voyage fut l'occasion de décrocher mon job de 40 ans de mes pensées, l'occasion également d'apprécier une fois encore les réelles valeurs de nos amis Henry et Joelle.

Mais surtout d'être déçu de ce que le blanc, touriste ou non, représente au Sénégal, sollicité sans cesse avec un acharnement certain, arnaqué à chaque occasion, pays dont la corruption n'a plus guère de limite..

Avant de caler notre séjour en Tanzanie pour la fin d'année, et rejoindre notre ami Valéry, vers le 15 avril ,nous traverserons l'Europe de l'est jusqu'en Ukraine pour photographier certaines espèces devenues difficiles.

Agrobate podobé
Aigle ravisseur
Aigrette ardoisée
Aigrette des recifs
Aigrette garzette
Alecto à bec blanc
Alouette bilophe
Alouette calandrelle
Alouette de dunn
Alouette haussecol
Alouette pispolette
Amadine cou-coupé
Amarante du senegal
Ammomane elegante
Ammonane isabelline
Anhinga d'Afrique
Astrid cendré
Astrild à joues rouge
Astrild queue de vinaigre
Autour unibande
Balbuzard pecheur
Barbican a poitrine rouge
Barbican de vieillot
Barbion a front jaune
Barge rousse
Bécasseau sanderling
Bergeronnette des ruisseaux
Bergeronnette grise
Bergeronnette grise type marocaine
Bergeronnette printaniere
Bihoreau a dos blanc
Bouscarle de cetti
Bruant striolé
Bruant zizi
Bulbul à gorge claire
Bulbul des jardins
Busard des roseaux
Buse d'Afrique
Buse feroce
Buse feroce type cirtensis
Calao a bec noir
Calao a bec rouge 
Calao longibande
Camaroptere à tete grise (Camaroptera brachyura)
Canard souchet
Capucin bec d'argent
Capucin nonnette
Capucin pie
Chevalier aboyeur
Chevalier bargette
Chevalier cul blanc
Chevalier gambette
Chevalier guignette
Chevalier stagnatile Tringa stagnatilis
Chevalier sylvain
Chevechette perlée
Choucador à longue queue
Choucador à oreillons bleus
Choucador à queue violette
Choucador à ventre roux
Choucador pourpré
Choucador splendide
Chouette cheveche
Cigogne blanche
Cigogne épiscopale
Circaete de Beaudouin
Cisticole des joncs
Cisticole rousse
Cochevis a long bec
Cochevis de tekla
Cochevis huppé
Coliou huppé
Colombar waalia
Combassou du senegal
Corbeau brun
Corbeau pie
Cordon bleu à joues rouges
Cormoran africain
Corvinelle a bec jaune Corvinella corvina
Coucal du senegal
Coucou de klaas
Courlis cendré
Courlis corlieu
Courvite isabelle
Crabier chevelu
Craterope a tete noire
Cratérope brun
Craterope fauve
Crave à bec rouge
Crombec sitelle Sylvietta brachyura
Drongo brillant
Drongo modeste
Echasse blanche
Elianon blanc
Engoulevent à longue queue (Caprimulgus climacurus)
Epervier shikra  Accipiter badius
Eremomele a dos vert (Eremomela pusilla)
Erismarure à tete blanche
Etourneau unicolore
Euplecte vorabé
Faucon ardoisé Falco ardosiaceus
Faucon crecerelle
Faucon lanier
Faucon sacré
Fauvette à tete noire
Fauvette melanocephale
Fauvette passerinette
Flamand rose
Foulque caronculé
Francolin à double éperon
Fuligule nyroca
Galinule poule d'eau
Ganga couronné
Goeland à bec cerclé
Goeland argenté
Goéland dominicain
Goeland railleur
Gonolek de barbarie
Grand corbeau
Grand cormoran d'Afrique
Grand gravelot
Grand indicateur (Indicator indicator)
Grande aigrette
Gravelot pâtre
Grebe castagneux
Grebe huppé
Guépier à queue d'aronde
Guepier nain Merops pusillus
Gymnogene d'afrique
Héron cendré
Héron gardeboeuf
Héron mélanocéphale
Héron pourpré
Héron strié
Hirondelle à longs brins Hirundo smithii
Hirondelle des mosquées
Hirondelle fanti
Huppe fasciée
Hypolais icterine
Hypolais obscure
Ibis sacré
Irrisor moqueur
Irrisor noir
Jacana à poitrine dorée
Linotte melodieuse
Malcoha à bec jaune Ceuthmochares aereus
Martin chasseur a tete grise
Martin chasseur strié (Halgus chelicuti)
Martin pecheur d'Europe
Martin pecheur geant
Martin pecheur pie ( Alcyon pie)
Martin pecheur pygmee
Merle africain
Merle noir
Mesange maghrebine
Mesange noire
Milan à bec jaune 
Milan noir du Senegal
Moineau blanc
Moineau domestique
Moineau doré
Moineau espagnol
Moineau gris
Moineau soulcie
Moinelette a front blanc
Moinelette à oreillons blancs
Monticole bleu
Mouette a tete grise
Mouette rieuse
Oedicneme du senegal
Ombrette africaine
Palmiste africain
Pelican gris
Perdrix gambra
Perroquet youyou
Perruche a collier
Petit duc africain
Petit moineau
Piacpiac africain
Pic cardinal
Pic goertan
Pie bleue 
Pie griche à tete rousse
Pie grieche méridionale
Pie grieche type algériensis
Pie grieche type élégans
Pie marocaine
Pigeon colombin
Pigeon roussard
Pinson africain
Pintade de Numidie
Piqueboeuf a bec jaune
Pluvier argenté
Prinia à ailes rousses
Prinia à front écailleux
Prinia modeste
Pririt à collier
Pygargue vocifere
Remiz a ventre jaune( Anthoscopus parnulus)
Rhynchée peinte
Rolle violet
Rollier a ventre bleu
Rollier d’ abyssinie
Rollier varié
Roselin githagine 
Rougequeue à front blanc
Rougequeue de Moussier
Rougequeue noir
Serin à croupion blanc
Serin du Mozambique
Serin gris
Sirli du desert
Souimanga à longue queue
Souimanga à poitrine rouge
Souimanga à ventre jaune
Souimanga éclatant
Souimanga nectarina cupréa
Souimanga pygmée
Spatule blanche
Sterne caspienne
Sterne caugek
Sterne royale
Sterne voyageuse
Talève sultane
Tarier pâtre
Tchagra à tete noire
Tchitrec à ventre roux
Tisserin à cou noir
Tisserin gendarme
Tisserin minule
Tisserin vitellin
Touraco gris
Touraco violet
Tournepierre à collier
Tourtelette d'Abyssinie
Tourterelle à collier
Tourterelle maillée
Tourterelle masquée
Tourterelle pleureuse
Tourterelle vineuse
Traquet à tete grise
Traquet du désert
Traquet motteux
Traquet rieur
Vanneau a tete noire (Vanellus tectus)
Vanneau du senegal
Vanneau éperonné
Vautour charognard
Veuve dominicaine
Veuve nigérienne
Zosterops jaune (Zosterops senegalensis)

les 251 espèces effectuées pour ce voyage

en jaune les nouvelles espèces sur notre photothèque

Comme toujours, un clic sur l'oiseau vous amène à sa galerie

 

 Pa  est un guide dont les connaissances ornitho valent bien que l'on lui rende hommage. j'ai eu plaisir a prospecter des heures avec lui dans les forêtes et savanes d'abuko, les rizières des environs et la forêt de Brufut. C'est grace à un de ses amis que nous avons pu voir le fameux engoulevent à longue queue.

   

                                   Nouvelle aventure vers l'Afrique noire...

                          Après l'Espagne, le Maroc, le Sahara occidental et la Mauritanie

                            Ce fut le contact choc du Sénégal avant  d'aborder la Gambie

 

 

Quelques  14.800 kilomètres  pour  14.500 images   et   251 espèces effectuées 

du 26 novembre 2010 au 28 février 2011